Communiqué

Nantes connaît jour après jour, beaucoup plus que des actes d’incivilité. Ce sont de véritables actes d’ensauvagement, des policiers insultés, des voitures brûlées, des commerces vandalisés. C’est véritablement la vie au quotidien qui est menacée à Nantes avec cette voyoucratie et ces criminels. La lutte contre la délinquance et l’insécurité sont les deux échecs majeurs de la majorité municipale.

La maire, Johanna Rolland, a pourtant, officiellement, fait de la sécurité sa priorité. Mais force est de constater que l’insécurité ne cesse d’augmenter à Nantes. Nantes rivalise désormais avec la ville de Marseille en termes de règlement de compte. L’autorité de la police est défiée. Des manifestations faisant la promotion de la haine anti-police sont organisées et soutenues par l’extrême gauche. Des voitures de policiers sont brûlées. Pas plus tard que cet été, des délinquants ont commis sans crainte des actes de violences contre des personnes et des biens en plein centre-ville et dans nos quartiers.

Des renforts de police ont, certes, été promis par la maire. Mais nous attendons toujours le chiffre annoncé. Cette incapacité de la maire à assurer la sécurité des Nantais est inquiétante. D’autant plus qu’à cet échec sécuritaire s’ajoute l’invasion migratoire que connaît la ville, et qui est organisée par des organisations non gouvernementales (ONG) immigrationnistes subventionnées par la majorité municipale. Ces ONG complices des passeurs ont leur part de responsabilité dans la situation déplorable que vivent les habitants. Selon l’affirmation de nombreux d’entre eux lors de nos rencontres, les trafics de drogue et les vols ont augmenté depuis que la ville a connu des vagues migratoires sans précédent. Ceci nous laisse légitimement penser qu’il existe un lien indissociable entre l’immigration et l’insécurité. Affirmer le contraire, c’est faire preuve d’un angélisme qui ne permettra pas de changer la situation. Pire encore, avec la complicité du mouvement antifa, cette ultra-gauche finance des évènements faisant la promotion de la haine anti-police.

Et la droite, tiède, impuissante et naïve, ne fait pas mieux. C’est une droite d’accompagnement du rolandisme !

Face à ce constat d’inertie et parce qu’il est vital et évident que nous parviendrons aux responsabilités, nous nous profitons de la tribune fournie hier soir avec l’émission télévisée présentée par Bernard de la Villardière pour rappeler nos mesures de bon sens en matière de politique sécuritaire.

Il faut, à Nantes, un recrutement massif d’agents de la police municipale dans l’objectif d’un doublement des effectifs. Il faut, à Nantes, un armement de la police municipale.

Il faut, à Nantes, le démantèlement du trafic de drogue avec une action coordonnée entre les services de l’État et ceux de la ville.

Il faut, à Nantes, l’ouverture dès le premier semestre 2024 un centre de rétention administrative (CRA).

Il faut, à Nantes, un soutien appuyé aux victimes de violences et agressions sexuelles.

Quand nous parviendrons aux responsabilités nationales, nous expulserons systématiquement les délinquants et criminels étrangers, feront les investissements nécessaires pour atteindre 85 000 places de prison en 2027 et nous intégrerons la présomption de légitime défense pour nos forces de l’ordre. Cette politique nouvelle aura des effets concrets à Nantes. Et en amont, nous agirons aussi pour proposer aux Nantais une liste du RN aux élections municipales de 2026, de manière à constituer la véritable opposition au conseil municipal.

La sécurité est un choix. La municipalité de gauche préfère faire le choix irresponsable du communautarisme. Avec le RN, en 2026, nous ferons le choix de la sécurité des Nantais.

Pierre-Emmanuel Crétté
Louis Laguoué
Bryan Pecqueur